Nom - Prénom :
Reo.

Description physique :


Description mentale :
Reo, n'est qu'un petit enfant dans sa tête. On peut le constater par ses actes et ses petites blagues qu'il raconte chaque jour, il aime raconter des bobards pour attirer l'attention sur lui et seulement sur lui. ll déteste quand une personne lui vole la vedette et alors rajoute un bobard pour qu'on s'intéresse de plus en plus à lui, il ne s'en rends pas compte mais si il fait toutes ces bêtises c'est car il a encore une douleur dans son coeur du fait que ses parents soient morts au combat.

Cloth :
Je convoite celle du lion d'or.

Histoire : Pour moi, ce fût à l'aube d'un printemps sous un cerisier (et oui, je suis pauvre) le soleil rayonnait de milles feux on aurait pu croire qu'il se projetait sur mon petit corps d'enfant et c'est ainsi qu'on me nomma ainsi : Reo. Ce prénom faisait référence au soleil qui m'éblouissait moi et mes parents. C'était un signe pour mes parents, j'étais l'enfant de la prophétie : celui qui deviendra le chevalier d'or du lion après mon père qui en a succombé en ayant trop utilisé son pouvoir... Vous savez, grandir dans un vaste milieu ou dans la famille on est au service de Athéna ou on est saints, c'était l'un ou l'autre. Je me promenais dans un champ de blé, jouais, m'amusais mais tout à coup mes parents vinrent me chercher en vitesse avec des valises dans leurs mains ils étaient empressés, stressés, bref ils étaient dans un état de panique. Une grande menace se planait selon mon père autour de nous mais ils n'avaient pas le droit de m'en parler d'après eux. On était entrain de courir je m'en souviens encore .. Je n'avais que 9 ans et mon père, se revêtu tout à coup en une armure splendide et dorée que j'ai adorée rien qu'en la regardant pendant deux secondes hélas, c'était la dernière fois qu'on contact père fils fût émit. Ma mère meurt de famine et chaque jour, assis non loin de là où moi et mon père on s'étais quittés sur un gros rocher ou je gravais chaque jour une petite barre pour signer ma tristesse et ma solitude .. Quand tout à coup, rien, le gros vide. Le soleil m'éblouit et je tombe de famine pour moi, c'était la fin .. Je vois mon père et ma mère me saluer et me relever dans mon rêve ils me disaient : " ce n'est pas ton heure, filston. " quand je me réveille en ayant couru au fin fond de cette lumière blanche j'étais dans un camp d'entraînement .. Je n'ai pas encore tout bien compris mais ils vont faire de moi un " chevalier " ! Reo c'est moi, et le lecteur c'est toi !